Et aussi : le marketing et la communication à l'ère du responsable, Châteauform' ne lâche rien, l'exercice de pédagogie de Danone, le partenariat de sens entre Aigle et Faguo etc.
Tout a fait en accord avec Vivien que le fait que devenir entreprise à mission passe par des étapes indispensables pour que la gouvernance et les collaborateurs d'une entreprise soient en harmonie et que la mission soit une finalité naturelle.
A ESII nous sommes passés en 5 années par une forme d'entreprise libérée (Une formalisation car nous avons toujours été toujours été dans ce mode d'organisation) avec expression de nos valeurs et de notre raison d'être puis appropriation de la norme ISO 26000, rédaction d'un nouveau code de conduite en ligne directe avec la RSE, puis plan d'actions RSE pour agir sur les points à améliorer, puis plan d'action QVT et enfin affirmation de notre mission avec inscription dans nos statuts.
Bravo Vivien pour la pertinence de vos propos et votre communication.
Merci Jean-Pierre. Ma réflexion s'est entre autres appuyé sur votre exemple, mais c'est vrai que c'est un phénomène que je vois chez beaucoup d'entreprises.
Merci Vivien de poser le débat du lien entre RSE et Mission/BCorp !
Selon moi les deux convergent et s'enrichissent mutuellement mais la clé du succès est ailleurs.
La RSE est en train de sortir de sa tour d'ivoire et de profondément diffuser dans l'entreprise, ce qui est génial.
Mais la RSE ou être BCorp ne fait pas tout. Car avoir une raison d'être, un impact écologique, une belle politique RSE mais en parallèle avoir un comportement toxique du management et c'est la catastrophe.
Toutes ses démarches doivent diffuser profondément, concrètement et en cohérence dans toute l'entreprise pour qu'elle devienne globalement plus harmonieuse. Et c'est cela la clé du succès, que l'on commence par l'un ou par l'autre. L'important est de commencer !
Tout a fait en accord avec Vivien que le fait que devenir entreprise à mission passe par des étapes indispensables pour que la gouvernance et les collaborateurs d'une entreprise soient en harmonie et que la mission soit une finalité naturelle.
A ESII nous sommes passés en 5 années par une forme d'entreprise libérée (Une formalisation car nous avons toujours été toujours été dans ce mode d'organisation) avec expression de nos valeurs et de notre raison d'être puis appropriation de la norme ISO 26000, rédaction d'un nouveau code de conduite en ligne directe avec la RSE, puis plan d'actions RSE pour agir sur les points à améliorer, puis plan d'action QVT et enfin affirmation de notre mission avec inscription dans nos statuts.
Bravo Vivien pour la pertinence de vos propos et votre communication.
Merci Jean-Pierre. Ma réflexion s'est entre autres appuyé sur votre exemple, mais c'est vrai que c'est un phénomène que je vois chez beaucoup d'entreprises.
Merci Vivien de poser le débat du lien entre RSE et Mission/BCorp !
Selon moi les deux convergent et s'enrichissent mutuellement mais la clé du succès est ailleurs.
La RSE est en train de sortir de sa tour d'ivoire et de profondément diffuser dans l'entreprise, ce qui est génial.
Mais la RSE ou être BCorp ne fait pas tout. Car avoir une raison d'être, un impact écologique, une belle politique RSE mais en parallèle avoir un comportement toxique du management et c'est la catastrophe.
Voir l'article d'Hélène de Saint Front à ce sujet "Non le sens ne suffit pas": https://www.linkedin.com/pulse/non-le-sens-ne-suffit-pas-helene-de-saint-front/
Toutes ses démarches doivent diffuser profondément, concrètement et en cohérence dans toute l'entreprise pour qu'elle devienne globalement plus harmonieuse. Et c'est cela la clé du succès, que l'on commence par l'un ou par l'autre. L'important est de commencer !